Autant le dire tout de suite, ma seule vrai passion (dévorante et tout et tout), ce sont les mathématiques. Ce n'est pas pour rien qu'on choisit de faire des études comme ça, ni qu'on choisit d'en faire son métier ! Mais, en dehors des moments de folie mathématique, je suis aussi un fan d'Astérix (je les ai tous) et j'aime bien émailler mes propos de citations tirées des albums ; voilà qui énerve certains de mes copains !

Bon, vous n'êtes peut-être pas encore des copains … Mais tant pis pour vous, je vous offre une petite visite antique (obligatoire) :

(à moins que vous ne préfériez une vue aérienne d'Auch (Gers), la petite ville de province qui m'a vu grandir).

En tant que (presque) Arverne - je sais, je suis déjà si vieux ! (Et che chuis quand même un peu de che pays, churtout vu de loin) - , je ne pouvais pas rater une des bulles les plus fines du "Bouclier Arverne" :

 Oui, je disais "(presque Arverne)", car je suis né, comme tout le monde, dans le plus bel endroit de la Terre, au Puy-en-Velay exactement, et mon cœur est resté sur les hauts plateaux de la Margeride, près de Saugues, célèbre pour la Bête du Gévaudan et sa Tour des Anglais. Cet environnement un peu désolé - Eh ! L'Aubrac, dont vous pouvez avoir un aperçu ici et encore ici est pire ! Je l'aime bien aussi, ce plateau battu des vents et des neiges … - mais si attachant a été le cadre d'une randonnée en Août 1999 avec mes copains. (Tiens, il manquait Lise, qui devait prendre la photo!). Je ne résiste pas au plaisir de vous faire découvrir cette chapelle, Notre-Dame d'Estours, cadre d'un pèlerinage chaque été (et que, en bon matheux rationnel et cartésien, je fuis comme la peste), qui se fit cette année-là sans nous :

D'ailleurs, chaque année, nous partons à la découverte d'une région de France, à pied bien sûr, mais ce n'est pas toujours la galère (ben quoi, on a toujours son petit jeu de Tarots pour les (longues) pauses dues à l'omniprésence du soleil pendant nos randonnées. Faudrait pas croire !)

En Août 1998, nous avions colonisé les Grands Causses, entre Millau et Florac. Le spectacle offert est grandiose, surtout au petit matin, comme vous pouvez le constater ici, au dessus de Quézac.

Le problème des petits matins comme ceux-là, quand on dort sous la tente, c'est qu'il fait froid ... et qu'on ne voit pas toujours son monde (on reconnaît quand même David, Lise, et Bénédicte, enfin, quand on sait qui c'est).

En Août 1999 donc, nous étions entre Haute-Loire et Lozère, pour une randonnée des plus sérieuses. Cette Etude de Cartes sur le terrain montre des matheux en pleine réflexion, méditant sur la complexité de la Géométrie Riemannienne appliquée !

En Août 2000, nous étions au Pays Basque, en suivant le GR 10 de la côte Atlantique à Saint-étienne de Baïgorry. De cette année humide et moite, pas de photos (vu l'usage que j'en fais, des plaignants ont fait pression pour que rien ne transparaisse), mais ça se résume toujours à la même chose : la vision de ceux qui suivent - toujours les derniers - ne change pas avec le lieu ...

Pour ceux qui aiment la Haute Montagne, je vous offre un lien (magique) : une vue panoramique et animée depuis le sommet du Mont-Blanc (!), et pour les amoureux du ski - dans les Pyrénées - les hauteurs de neige dans la chaîne.

ET VOICI LE COTE FRANCE CULTURE DE CETTE PAGE ! ...

Je lis peu de littérature sérieuse (Léo Malet et ses "Nestor Burma" arrivent en tête, talonnés par toutes sortes de polars français), ce qui ne m'empêche pas d'être encore totalement époustouflé par la première page de "Lolita" de Nabokov, que voici en VO :

J'avoue aussi un faible pour un magnifique poème de Paul éluard, que je vous invite à découvrir de toute urgence.

"Mais non, mais non ! Le Russe, ce n'est pas difficile, dès qu'on a pigé l'alphabet, après c'est comme en français (par exemple, Géométrie, ça se dit "Geometria") ." (d'après les copains, j'aurais dit ça un soir de ... fatigue, mais, hem, il doit y avoir erreur, on ne m'a pas bien compris ... )

Je passe rapidement sur ma collection de CD de musique classique, sur ma passion pour Glenn Gould (site non-officiel, celui de la Fondation est accessible ici), et les sorties aux concerts qu'offre Toulouse avec ses deux orchestres (Orchestre National du Capitole et l'Orchestre National de Chambre), pour vous donner la parole :

"ET LE CINEMA ? ALORS ?"

Bon, là, je suis un inconditionnel de K. Kieszlowski, en particulier de "La double Vie de Véronique". D'ailleurs, mon actrice préférée, c'est elle, c'est Irène Jacob, que vous découvrez là, là, et ... là. Et comme je n'en ai jamais assez, la voici encore, cette fois dans le dernier film de Kieszlowski. Pour tout dire, de cette trilogie "Bleu", "Blanc", "Rouge", c'est ce dernier que je préfère. Mais il y a dans les autres des images sublimes (c'est une scène de "Blanc" ; quelle lumière, mes aïeux !). Inutile de dire que je n'ai pas compris ce que la belle Irène (sans rapport avec un film de Walt Disney) était allé faire dans "Cuisine à l'Américaine". Mais je l'ai retrouvé avec un immense plaisir dans "L'affaire Marcorelle", sorti à l'automne 2000, même si, heu, bon, le film, heu, comment dire ...

Il m'arrive de lui faire quelques infidélités, en appréciant Marie Gillain, ou la plus rare Florence Pernel. D'après mes copains, j'ai un ticket avec celle qu'on appelle entre nous Sandrine K (ici en compagnie d'un monsieur que je trouve formidable). Mais je pense qu'on me mène en bateau - un autre de mes multiples centres d'intérêt ; je navigue parfois à La Ganguise ... Non pardon, il y aune erreur de lien. Parmi les éligibles de mon cœur, citons Juliette Binoche, et aussi Olivia Bonamy. Je m'arrêterai là, sinon tout le star-system va y passer ... Et j'aurai des problèmes de copies illicites, machin-couffin.

Je ne saurai trop vous recommander de voir et revoir "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain", que je trouve particulièrement réussi sur le plan esthétique ; enfin, là, c'est vous qui voyez ! Dans la série des bandes-annonces réussies, voici aussi celle de Virgin Suicide (Modem 56 Ko et ADSL ).

Enfin, je ne peux pas oublier "Les Tontons Flingueurs" de G. Lautner, dont vous trouverez les dialogues et quelques extraits sonores sur mon site.

Pour finir en beauté (?), le côté culturel, je vous renvoie à deux sites que je fréquente assidûment, sans tout-à-fait parvenir à me passer du support papier que j'achète à l'occasion, juste pour le plaisir d'entendre un froissement rassurant : celui du journal Le Monde, et du mensuel Le Monde Diplomatique. Bonne lecture !

Je vous impose aussi une visite sur un des sites les plus réussis en matière de communication : le site de Radio-France (toute la radio est en ligne !)